NON au diktat du Groupe pour une Suisse sans armée

NON aux dégâts infligés aux PME et à l’emploi

NON à une mise sous tutelle politique de la Banque nationale suisse

NON à des interdictions qui coûteraient cher à l’AVS et aux caisses de pension

L'initiative

L’initiative du GSsA « Pour une interdiction du financement des producteurs de matériel de guerre » constitue une nouvelle attaque des personnes qui veulent supprimer l’armée, et visent, cette fois-ci, la Banque nationale suisse et le système de sécurité sociale. Cette initiative aurait des effets néfastes pour l’AVS, les caisses de pension et les PME suisses. Elle met en danger non seulement le système de défense de notre pays, mais aussi notre sécurité sociale. Elle nuit à l’économie et menace directement plusieurs milliers  emplois, alors que la Suisse traverse une crise due au coronavirus.

Le principal objectif du Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA) a toujours été d’abolir l’armée. C’est dans cette perspective qu’il a lancé plusieurs initiatives, toutes rejetées par le peuple suisse en votation populaire. Aujourd’hui, les opposants à l’armée tentent d’interdire le financement du matériel de guerre. Leur initiative veut introduire dans la Constitution fédérale un quota rigide : il serait interdit à l’AVS, à l’AI, aux APG, aux caisses de pension, aux fondations et à la Banque nationale suisse de financer des entreprises qui réalisent plus de 5 % de leur chiffre d’affaires avec la fabrication de matériel de guerre.

Cette initiative extrême affaiblit notre AVS et nuit à de nombreuses PME. Elle rend les options d’investissement des institutions de sécurité sociale plus coûteuses, tout en augmentant les risques. Elle rend ainsi plus difficile le financement des activités des entreprises suisses. L’initiative mérite un NON clair dans les urnes le 29 novembre !